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 Nicholas A. Fincher ♦ And I set fire to the rain.

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Nicholas A. Fincher
Nicholas A. Fincher


Founder ♠ The nightmare begins

Messages : 143
Points : 13309


Feuille de personnage
Pouvoir : Pyrokinésie
Situation Amoureuse: Célibataire
Relationships:

Founder ♠ The nightmare begins

Nicholas A. Fincher ♦ And I set fire to the rain. Empty
MessageSujet: Nicholas A. Fincher ♦ And I set fire to the rain.   Nicholas A. Fincher ♦ And I set fire to the rain. EmptyVen 27 Avr - 3:22


Nicholas A. Fincher







Nom : Fincher
Prénom(s) : Nicholas Arthur Andrew
Âge : 28 ans (21/06/1984)
Métier/Occupation : Chirurgien gynécologue.
Statut : Célibataire.
Orientation sexuelle : Hétérosexuel.
Groupe : Topaz Key.
Pouvoir : Pyrokinésie
Andrew♥️Garfield
This is my story ...


Le portail électronique de l’immense manoir s’ouvrit avec un léger grincement devant la longue berline noire. L’allemande, aux allures de corbillard s’engouffra silencieusement sur le chemin goudronné, discrètement surveillée par les quelques caméras mises à des endroits stratégiques de la propriété. La voiture s’arrêta juste devant l’imposante bâtisse, où une armée de femmes de ménages s’empressèrent d’ouvrir chacune des quatre portes avec une mécanique bien huilée. Sans un regard de considération pour les employées de son père, Kristen Fincher jaillit sur ses escarpins noirs et se dirigea à grand pas, son mari, David, sur ses talons. Le couple Fincher, vraiment faits pour être ensemble ! Tous deux influents et au plus haut poste de la hiérarchie, celle du conseil d’administration de l’hôpital, pour lui, et celle de la maison d’édition Tell me a story, pour elle. Toujours impeccablement habillés, tailleurs et costumes de marque, pas une mèche rebelle, et des chaussures cirés. Heureux parents d’une petite famille de quatre enfants, qui, plus calmement, faisaient à leur tour leur apparition dans la cour du manoir.
Tout d’abord, Jules, l’aîné, à l’allure aussi digne que ses géniteurs, aussi svelte que pouvait l’être un enfant de onze ans, il bombait fièrement le torse, exhibant le nouveau veston Ralph Lauren flambant neuf. Tel un petit coq, le menton en l’air, il se prenait déjà pour le futur maître des lieux, ce qu’il serait une fois le décès de son grand-père et de ses parents, c’est-à-dire, pas avant très, très longtemps. Il soupira, lasse, quand une petite main avait sautillé pour agripper la sienne. C’était celle de Freya, sa petite sœur de six ans sa cadette. Belle comme un ange, une longue natte dorée se balançant dans son dos, elle avait toujours eu ce pouvoir si particulier d’arriver à transformer en vieux gâteux toute personne qui avait le malheur de croiser son regard azur. Elle était même arrivée à cet exploit avec sa tante Lucy, cette vieille femme aigrie avait, elle aussi, succombé aux charmes de la petite, et si jolie Freya. Et enfin, les deux derniers des enfants Fincher. La cadette, Ellora, un an, endormie paisiblement dans les bras de son grand frère Nicholas, qui se chargeait pour toute sa famille de remercier les domestiques du manoir. Il devait être le seul à connaître les noms de ces quatre femmes, il était le seul à leur avoir un jour demandé. Bien loin des vêtements si chics et couteux de son aîné, Nick portait ce jour-là une simple chemise blanche et un pantalon de toile, et encore, c’était sa mère qu’il l’avait forcé, d’après elle on ne se présentait pas n’importe comment devant grand-père Blake. Elle l’avait même emmené chez le coiffeur pour l’occasion, la tignasse châtain de son fils devenant pour elle, « une véritable honte ». Mais Nicholas était habitué. Tout ce cirque, c’était comme ça une fois par an. Le jour du repas de famille annuel des Blake, chaque réveillon.
Le principe était simple. Rassembler une trentaine de personnes de la même famille, dans un manoir de cinq-cent-cinquante mètres carrés dans le Sud de l’Angleterre, manger de la dinde farcie pendant toute la nuit, s’enfiler quatre verres de champagne grand cru tout en se congratulant sur la réussite de leurs existences mutuelles. C’était en majeure partie à cause de cette soirée que Nicholas détestait Noël. Ca, et le fait qu’il était allergique aux aiguilles de sapin, qu’il ne supportait pas tous les chants pleins de grelots, et que la dernière fois, son cousin Eddy lui avait vendu un gramme de cocaïne lui promettant monts et merveilles s’il se la mettait dans le nez. Malheureusement, le garçon n’avait jamais pu vérifier l’exactitude des promesses de son dealer, ses parents étaient intervenus à temps, et Eddy avait été banni du diner annuel, le veinard !
Cette année-ci, s’annonçait encore pire que les précédentes. Ellora était désormais trop vieille pour accaparer tout l’attention des parents, mais beaucoup trop jeune pour rester sans surveillance, c’était à Nicholas qu’on avait confié la corvée de babysitting. Néanmoins le petit garçon gardait le fugace espoir que s’occuper de sa petite sœur pourrait lui servir de prétexte pour s’échapper assez vite de l’interminable repas. Jules avait trouvé le filon ! Il s’échappait discrètement par-dessous la table et demandait à Nick de le couvrir, ce dernier supposait que cette tâche incomberait désormais à Freya la magnifique. Il lâcha un petit soupir avant de grimper les quelques marches du perron, le bébé toujours dans ses bras.
Directement, il alla s’installer dans son coin favori du manoir, et accessoirement le moins fréquenté : le petit salon. Si peu de monde allait dans cette pièce, c’était sans doute parce qu’il n’y avait absolument rien à part une grande cheminée et un canapé en cuir de buffle un peu élimé. Avec délicatesse, il déposa sa petite sœur sur le divan, la cala avec précaution avec deux coussins, avant de s’y installer à son tour en tailleur. Il avait de la chance ! Un feu ardent crépitait dans la cheminée, et il laissa avec plaisir ses prunelles noisette se perdre dans les flammes.

*~*~*


Les pleurs d’un bébé, la chaleur d’un four, une alarme incendie qui sonne à en faire péter des tympans. Ce n’est que l’accumulation de tout cela qui réussirent à tirer Nicholas de son sommeil. A côté de lui, Ellora s’égosillait et gesticulait telle une damnée. Encerclés par le feu, les deux enfants étaient pris au piège. Il n’y avait aucune issue de secours ! Nick suivit son instinct, il n’y avait rien d’autre à faire. Il prit sa sœur dans ses bras la serra le plus fort qu’il put. Il savait qu’ils n’avaient plus aucune chance, la fumée allait les tuer ! Nicholas n’était pas un garçon très optimiste et, du haut de ses sept ans, il voyait déjà les couvertures des journaux nationaux « Drame tragique dans une des plus riche famille d’Angleterre, deux enfants tués dans un incendie le jour de Noël ». Des grosses larmes commencèrent à couler sur les joues du petit garçon, et, alors que tout n’était plus qu’une question de temps pour que la mort vienne les cueillir, il sentit un frisson glacé parcourir tout son dos jusqu’à son échine. Glacé ? C’était donc ça la mort ? Un froid intense ? Pas d’étouffement, pas de brûlure, juste ce froid qui commençait à se rependre dans tout son corps ? Ses pleurs redoublèrent, quand, soudain, le feu s’écarta brusquement, libérant un couloir entre les flammes. Nicholas n’hésita pas une seconde, et s’y engagea, Ellora toujours dans ses bras. Il courut, le plus vite qu’il put, à moitié suffoquant dans la fumée. A bout de forces, il vit la sortie, et la lumière d’un gyrophare de pompier. Un homme lui retira l’enfant des mains juste à temps avant qu’il ne s’écroule, à genoux, inconscient. La dernière chose qu’il vit avant de sombrer fut l’éclat d’une clé dorée juste sous ses yeux.

*~*~*

« Nicholas Fincher… si tu savais tout ce qu’on m’a dit sur toi ! » La jeune fille aux magnifiques prunelles grises s’était dangereusement approché de lui, et lui avait susurré ces mots d’un ton mielleux. Elle s’appelait Victoria Downing, elle était arrivée au collège il y a seulement quelques semaines mais avait vite fait de s’intégrer à la bande des filles populaires. Uniformes Prada, escarpins Chanel, cheveux lissés et laqués, toute la panoplie des petites filles à papa qui se croyaient un peu trop dans une série télé. Et, comme Nicholas s’y attendait après avoir été la proie de chacune d’entre elles sans exception, Victoria avait commencé à essayer de le séduire. Elle avait deux ans de plus que lui, soit, seize ans, et ça ne l’embarrassait pas le moins du monde de s’intéresser à un collégien. Pourquoi Jules était parti faire ses études aux Etats-Unis ? Il y avait une des meilleures universités du monde juste à côté, mais non, monsieur préférait Harvard ! Au moins quand son frère était là, il était tranquille, c’était vers lui que toutes les filles courraient, c’était lui, le fils aîné Fincher, l’héritier de l’immense fortune des Blake. Mais, maintenant qu’il était à l’autre bout de l’Atlantique, toutes celles qui voulaient un bon parti étaient condamnées à se rabattre sur le petit frère.
« Je veux le savoir ? » grommela Nicholas, maussade. « Probablement pas. » répondit Victoria, ses lèvres glosées s’étirant en un fin sourire. « Alors, vas-y ! Dis-moi. » se résigna Nicholas. Il y avait toujours tellement de ragots qui circulaient à Oxford, autant se tenir un peu au courant quand on en avait l’occasion. Victorieuse, l’adolescente commença à jouer avec une mèche de ses cheveux tout en récitant telle une poésie, la vie complète du jeune garçon.
« Tes seconds prénoms, sont Arthur et Andrew, tu as une sacrée réputation de gars un peu mystérieux et réservé, quand tu parles, je sais que tout le monde se tait pour t’écouter. Tu es comme un Héros, quand tu avais sept ans, tu as sauvé la vie de ta petite sœur mais ton manoir familial a brûlé. Ta couleur préférée, le dorée et... Tu vas tous les jours à l’université, on ne sait pas bien pourquoi, tu es intelligent, mais de là à suivre des cours à la fac… enfin bref. Tu n’es jamais sorti avec une fille, mais il parait que tu as un sacré faible pour moi ! » avant qu’il ait eu le temps de se défendre ou d’ajouter un mot, Victoria plaqua ses lèvres contre les siennes et l’entraina vers la cabine de toilettes la plus proche.

*~*~*

« Bonjour et bienvenue à l’Association Décadence, je m’appelle Nicholas Fincher, je suis membre de Décadence depuis près de vingt-et-un an maintenant, et je ne suis toujours pas dispensé de formation, même si mon planning est très chargé. » trèèèès chargé, c’était le mot. Nick détestait ces visites obligatoires de Snowdrop Hall, ça allait quand il était étudiant, beaucoup moins quand il avait commencé son internat de chirurgie, et maintenant qu’il était titulaire dans ce service, il devait presque courir pour arriver à l’heure pour ses opérations. Des fois, pouvoir se télétransporter lui aurait été vraiment plus pratique que de pouvoir allumer une cigarette sans briquet. Il jeta un coup d’œil rapide à sa montre avant de se reconcentrer sur les visages des nouveaux, mi-excités, mi-ahuris, qui venaient de découvrir leurs clés. Il se souvenait quand, lui aussi il avait mis les pieds pour la première fois à Snowdrop. L’admiration pour les locaux, pour cette foule de gens si différents en tous points. D’un geste, il fit signe à son groupe, constitué uniquement d’adolescents, de le suivre, il les entraina dans les nombreux couloirs, passant devant les amphithéâtres, les « hangars » comme il aimait appeler les salles d’entraînements physique où se déroulaient les combats, quand, une voix connue se fit entendre. PAR-FAIT. Le timing était parfait. Nicholas se racla la gorge afin d’attirer l’attention de tout le monde et éleva la voix « Mes petits, je vais vous laissez entre les mains… heu… ouais on va dire ça comme ça. Je vous laisse en la charrrrmante compagnie d’Hugo Merlo ! Vous voyez, c’est le ptit gars aux bouclettes et à la moustache ! Il est très gentil, il… s’il vous propose des bonbons, surtout, n’acceptez pas ! ». Nicholas fit un clin d’œil à son meilleur ami qui arrivait avec son propre groupe de nouveaux. Ce dernier lui rendit une grimace, mais un deal était un deal, celui qui perdait à la belote se chargeait des visites de l’autre pendant un mois complet ! Voir la tête dépité d’Hugo, quand on lui spoilait le dernier épisode de sa série préférée, Gossip Girl (qui tombait juste en même temps que le créneau des visites), était tout simplement hilarante ! « Je te donnerais des nouvelles de Serena… » murmura-il à l’oreille d’Hugo, avant de s’éclipser, plus rapide qu’une ombre.

Enjoué
Ambitieux
Altruiste
A l’écoute
Sarcastique
Cynique
Humour Tordu
Incorrect
Sang-froid
Moqueur
Loyal
Lunatique
Laxiste
Protecteur
In Real Life
Prénom: Céline/Miha
Mon âge: Seize ans cette année.
Mon personnage est : [ ] Prédéfini [ • ] Inventé
Je fais environ : Hum, en ce moment je ne descends pas en dessous de 700 mots.
Je serais là: 7/7 jours.
J'ai connu le forum: ... Laisse-moi réfléchir, j'ai un doute.
Ma première impression quand je l'ai vu a été: Oh mon dieu ! KOM IL É BOW !
J'ai lu le règlement, je peux donc dire que: Je m'autovalide rebellz' !
Rien d'autre à ajouter ? Nicholas A. Fincher ♦ And I set fire to the rain. 248161709

Gif trouvé sur TUMBLR, Icone sur Bronyland, Fiche créée par Miha.

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