AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  




 
Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 Peter F. Downing ∆ Existence is a phase.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Peter F. Downing
Peter F. Downing


Admin ◊ Reading your brain

Messages : 61
Points : 13222


Feuille de personnage
Pouvoir : Télepathie
Situation Amoureuse: Célibataire
Relationships:

Admin ◊ Reading your brain

Peter F. Downing ∆ Existence is a phase. Empty
MessageSujet: Peter F. Downing ∆ Existence is a phase.   Peter F. Downing ∆ Existence is a phase. EmptyVen 27 Avr - 10:55


Peter F. Downing







Nom : Fincher Downing
Prénom(s) : Peter
Âge : 14 ans (05/11/1997)
Métier/Occupation : Lycéen.
Statut : Célibataire.
Orientation sexuelle : La question ne s'est jamais posée.
Groupe : Crystal Key.
Pouvoir : Télépathie (peu développée)
Logan Lerman.
This is my story ...



• Chapitre I
« Peter, reviens, on va se faire attraper ! »
Il pleuvait dru sur le parc de l'orphelinat. Cela faisait au moins une heure que l'orage avait privé le bâtiment d'électricité, empêchant les surveillants de se rendre compte de leurs absence. Mais cela n'allait pas durer, le générateur de secours n'allait pas tarder à se mettre en marche, et là, ils auraient de vrais problèmes. Malgré ça, Peter ne voulait pas bouger, dégoulinant, agenouillé dans le sol boueux, alors que Sarah essayait en vain de le convaincre de rentrer. Elle se tenait juste à coté de lui, lui tenant la main, retenant ses larmes. La lumière se reflétait sur le visage des deux enfants via la grande plaque en métal qui était clouée au mur, sur lequel figurait une inscription en creux: "Oxford Orphanage". Comme si les pensionnaires ne savaient pas où ils étaient. Peter avait les yeux rivés sur le sol, ou reposait le cadavre de son violon, brisé. Le manche n'était retenu que par quelques fibres de bois, résistant à l'agression qu'ils venaient de subir. Ce violon, c'était lui qui l'avait réparé. Quand il l'avait trouvé, dans le grenier de l'orphelinat, il était en piteux état. Il n'avait plus de cordes, la table était usée, les chevilliers cassés... Mais Peter l'avait restauré en entier, prenant tout son temps libre pour s'en occuper, économisant le peu d'argent qu'on lui donnait pour acheter ce qu'il fallait. Et puis quand la tâche fût achevée, il dû encore apprendre à en jouer. Il est allé tous les jours au bureau du directeur, le supplier de financer ses leçons de violon, jusqu'à ce qu'il cède, et lui accorde une heure par semaine avec son professeur particulier. Peter travailla sans relâche, ses résultats faisaient la fierté des professeurs et responsables du pensionnat. Malheureusement, les autres élèves n'étaient pas du même avis. Tous étaient jaloux de l'attention que recevait Peter. Tous sauf Sarah. Elle lui était toujours restée fidèle. Ils étaient meilleurs amis depuis qu'ils s'étaient parlés, ils étaient arrivés en même temps à l'orphelinat, ils étaient tous deux différents du reste des orphelins. Différent, un adjectif souvent utilisé, rarement mérité. Les deux enfants n'étaient tout simplement pas comme les autres, pas appréciés, jamais acceptés. Après quelques efforts vains pour les sociabiliser, les adultes s'étaient résignés. Alors quand on accorda à l'un d'eux des cours de musique, coupant dans le budget de l'internat, chaque maux qui affectait l'orphelinat, de la baisse de l'argent de poche à la diminution des dépenses de la cantine, fût de la responsabilité de Peter. À partir de cette période, la répulsion des enfants contre lui commença vraiment à prendre de l'ampleur. Cela ne le dérangeait pas vraiment, il avait l'habitude de se contenter de l'amitié de Sarah. Mais peu à peu, la rancoeur contre l'alien privilégié montât, jusqu'à il y a une dizaine de minutes. Garret, un des enfants de ce qui pourrait être qualifié comme le noyau dur de l'internat, accompagné d'autres amis du groupe, avait décidé de mettre fin aux avantages du violoniste. Il était près de neuf heures, le diner était passé, le couvre feu allait arriver dans un peu plus d'une heure. Peter et Sarah étaient dans le jardin, assis sur le banc, ils parlaient, l'un réajustant la volute de son instrument, l'autre le regardant faire. C'était ce qu'ils avaient l'habitude de faire le soir, pendant que les autre fuyaient l'humidité de l'extérieur. Il commençait à pleuvoir un peu, mais les arbres leurs garantissait un abri, tout allait bien, c'était une soirée habituelle. Puis Garett et les autres sont arrivés. L'un d'eux a pris le violon. Il a sortit un couteau. Il a commencé a balader la lame sur les cordes. Puis ça a commencé. Il y a eu beaucoup de cris, mais la pluie qui tombait de plus en plus fort et les éclairs qui commençaient à zébrer le ciel rendaient la complainte inaudible. Après une désarticulation complète de l'alto, les gamins s'en allèrent, satisfaits de leurs oeuvre, laissant Peter anéanti.

• Chapitre II
Tic Tac Tic Tac. Le bruit horloge résonnait dans la pièce. Le directeur avait l'air fatigué. Extrêmement fatigué. Il avait la tête dans ses mains, et soupirait à intervalles réguliers. Peter, lui, semblait ne pas faire attention à ce qui se passait autour de lui. Il était fasciné par le tableau accroché sur le mur en face, derrière le grand fauteuil du principal. C'était la Nuit Étoilée de Van Gogh, ou du moins une copie. Bien qu'il ne se soit jamais essayé à la peinture, Peter pouvait passer des heures à observer des tableaux comme celui là. À essayer de comprendre la technique, à imaginer le peintre au travail. Cette œuvre là était particulièrement complexe, ce qui lui plaisait beaucoup. Il avait lu quelque part que la toile avait été peinte quelque part en France. Il aurait beaucoup aimé aller voir cet endroit, savoir si le ciel y était aussi beau, si les étoiles étaient aussi brillantes, et si le ciel était aussi clair la nuit. Ça devait être magnifique à regarder. Le principal avait vraiment fait un bon choix en prenant ce tableau pour orner ce mur, il introduisait ainsi une sorte de fenêtre sur les étoiles dans son bureau. Peter allait le faire remarquer quand le directeur prit la parole.
« - Peter. Il ne faut plus que tu viennes fouiller dans mon bureau. C'est la deuxième fois que l'on t'y surprend, ça ne peux pas continuer. » Il avait prononcé sa phrases lentement, comme s'il cherchait des mots plus doux. Il avait toujours eu de l'affection pour Peter, et cherchait toujours à le ménager. Même la première fois qu'il l'avait pris en train de chercher dans son tiroir, il avait été gentil avec lui, était resté calme. Comme l'enfant ne répondait pas, il reprit. « Je sais ce que tu cherches. Tu sais, ce n'est pas toujours bon de chercher ses parents quand ils ne peuvent pas prendre soin de toi. C'est pour ton bien que je dis ça. »
Peter baissa les yeux. Il avait moins d'aplomb face à quelqu'un qui cherchait vraiment à l'aider. Mais il avait vraiment besoin de savoir, maintenant qu'il avait commencé à chercher. C'était arrivé deux semaines avant, un an après l'épisode avec Garret. On lui avait offert un nouveau violon, et la vie suivait son cours. Il venait d'avoir une leçon de musique, et il attendait dans le bureau du directeur que celui-ci ait fini de parler avec le professeur, quand il aperçu un tiroir à moitié ouvert. Il s'approcha lentement, attiré par la curiosité, et aperçu un nom parmi des dizaines d'autres, écrit en lettres capitales sur une étiquettes en plastique. Le sien. Il se précipita alors dessus, attrapant la chemise en cuir qui contenait son dossier. Il l'ouvrit, cherchant une réponse à la question qu'il n'avait jamais osé se poser : Qui étaient ses parents ? Lors des sorties organisées par l'orphelinat, Peter voyait souvent des familles qui se baladaient, et, même si cette vision précédait souvent une tournée des animateurs auprès des enfants pour vérifier si ils ne pleuraient pas, Peter n'avait jamais ressenti un manque. Il n'avait jamais eu de parents, ne savait même pas qui ils étaient, alors que la plupart des pensionnaires avaient perdu leurs géniteurs plus ou moins tard, ce qui les rendaient plus sensibles à ce genre choses. Pourtant, après qu'il ait vu cette couverture de cuir, une idée taraudait Peter, découvrir l'identité de son père et de sa mère. Il n'avait que leurs noms, Fincher et Downing. Il ne savait même pas lequel était celui de son père ou de sa mère ! La politique de l'orphelinat cachait toutes informations aux enfants abandonnés. Sarah le comprenait. Elle avait perdu ses parents très tôt, et connaissait leurs identités, mais elle soutenait son ami dans ses recherches, contrairement au principal. Peter releva la tête, et répondit sur un ton d'excuse.
« Pardonnez moi monsieur. Je vous jure que je ne recommencerais plus. »
En tous cas, il ne se ferait pas prendre.

Chapitre III
« – Monsieur Downing Peter est demandé au bureau du directeur, Monsieur Downing Peter est demandé au bureau du directeur. »
Le professeur d'histoire, Mr. Swinton, se retourna lentement vers Peter, l'air abasourdi. Le reste de la classe l'imita rapidement, pendant que l'intéressé se décomposait peu à peu. Quoi ? Non, impossible. C'était déjà chose rare que le directeur du lycée appelle quelqu'un dans son bureau. Mais ça tournait presque à l'évènement quand la personne appelée n'était autre que l'un des meilleurs élèves de l'établissement. Peter était devenu blême. Qu'avait-il bien plus faire pour s'attirer les foudres du principal ? Rien dans son attitude n'aurais justifié une convocation. Habituellement, ceux qui qui étaient appelés l'étaient pour être renvoyés. Le lycée était intransigeant, rien ne pouvait ternir la réputation du lycée. La Oxford High School for Boys était sensée assurer une entrée quasi-systématique à ses élèves à la prestigieuse université de la ville, et on ne voulait pas d'étudiants indisciplinés dans l'enceinte des colleges.
« – Monsieur Downing, il semblerait, sauf erreur de ma part, que vous êtes attendu. »
Apparemment, Mr. Swinton s'était remis du choc, reprenant son acidité habituelle. Son air surprit s'était muée en une moue hautaine, méprisante. Il se dirigea vers la porte et l'ouvrit en grand, pendant que Peter se levait lentement, l'air assommé, le regard dans le vide. Quand il eu franchit le seuil, la porte se ferma derrière lui dans un claquement sec. Le professeur fît un commentaire d'une voix beaucoup plus forte que d'habitude, surement à l'intention de Peter, mais il n'écoutait pas. Ce dernier montait lentement les escaliers, pensant à ce qui l'attendait. Il devait savoir ce qu'on lui reprochait, sinon il n'aurait aucun moyen de défense. Et même, pourrait-il se défendre ? Si il était renvoyé, jamais il ne serait accepté à l'université d'Oxford, et par extension, dans l'orchestre de l'école. Il arriva dans la grande porte capitonnée, tapissée de velours violet. Il avait l'estomac noué, et ses jambes tremblaient. Il toqua et la poignée tourna immédiatement, la porte s'ouvrant sur le proviseur et une personne dont Peter n'avait même pas soupçonné la présence. Le directeur de l'orphelinat. Que faisait-il ici ? Les deux hommes avaient l'air grave, ce qui n'était pas pour rassurer « l'invité ». Il y eut un court moment de silence pendant lequel les deux adultes se regardèrent dans les yeux, avant que l'un ne demande à Peter de s'assoir. Il fût un peu décontenancé, car il se préparait à être attaqué directement. Le principal se lança alors dans un long discours, décrivant les qualités qu'avait Peter, comment le lycée l'avait aidé et soutenu pour qu'il réussisse à devenir violoniste professionnel... Et à quel point il ne voulait pas le perde. À quoi cela rimait-il ? Pourquoi lui faisait-il des éloges ? Il n'avait pas besoin d'une convocation pour qu'on lui rappelle qui il était. Le directeur de l'orphelinat prit alors la parole: « – Peter. Il y a eu un accident. Sarah a été percutée par une voiture. Les médecins ont fait tout ce qu'ils ont pu, mais ses blessures étaient trop importantes. Elle n'a pas survécu. »
Boom. Ce choc-ci supplanta le dernier. Tout semblait irréel, flou. Une grande pression, au niveau des poumons, impossible de respirer. Comme si il avait fait une longue chute pour tomber sur le dos. Puis plus rien. Si. Une forme, sur le bureau. La lumière s'y reflétait. Une clé.
Perfectionniste
Lunatique
Intelligent
Asocial
Attentif
Angoissé
Loyal
Timide
Talentueux
Névrosé
In Real Life
Prénom/Pseudo: Brian / HipsterMonster
Mon âge: 14 ans (quelle originalité me direz vous).
Mon personnage est : [ ] Prédéfini [X] Inventé
Je fais environ : + de 500 mots par rps.
Je serais là: 4/7 jours.
J'ai connu le forum: J'en ai entendu parler...
Ma première impression quand je l'ai vu a été: Biutiful *p*
J'ai lu le règlement, je peux donc dire que: D4rk admin se valide tout seul !
Rien d'autre à ajouter ? ОДЕРЖИМОСТЬ !

Gif et icône trouvé sur TUMBLR, Fiche créée par Miha.

Revenir en haut Aller en bas
http://watermelon-juice.tumblr.com/
 

Peter F. Downing ∆ Existence is a phase.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
❝ Décadence ❞ ::  :: Tell Me Who You Are :: Présentations Terminées-