Lily A. Pemlow
Admin ♥ The bitch's coming
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| Sujet: Lily A. Pemlow - You can tell Jesus that the bitch is back. Lun 25 Juin - 11:38 | |
| | Nom : Pemlow Prénom(s) :Lily Amanda Âge : 23 ans, elle est née le 15 mai 1988. Métier/Occupation : Étudie le journalisme pour être rédactrice de mode. Statut : Célibataire. Orientation sexuelle : Hétéro. Groupe : Saphire Key Pouvoir : Transformer sa morphologie. Personnalité sur votre avatar. Blake Lively <3 |
This is my story ...
Part I - La naissance
« Oh…non… CHERI »
Julia fut réveillé en sursaut par une vague de douleur en bas de son entrejambe Ça y est, elle était sur le point de devenir maman. La jeune femme avait toujours redouté cet instant, le fait de donner la vie. Et si elle n’y arrivait pas. Après tout, donner naissance à des jumelles, c’est toujours plus difficile. Surtout quand c’est son premier enfant. Elle essaya de réveiller le corps inerte à côté d’elle, mais en vain. Son mari ne daignait pas se bouger, pensant que c’était encore une lubie de femme enceinte. Il grogna et changea de côté. Julia haletait, peut-être que cela passerait, que ce n’était qu’une fausse alerte. La seconde vague de douleur lui enleva tout espoir car en même temps, une petite flaque d'eau apparue autour d’elle. Elle venait de perdre les eaux.
« ANTOINE ! »
Cette fois-ci, elle n’hésita pas à le frapper. Celui-ci se grogna plus fort, passa sa main sur son visage en demandant « mais qu’est-ce qui se passe ? » « Antoine, je crois que cela y est » les yeux de celui-ci s’écarquillèrent. Il se leva d’un bond, faisant des allers-retours pour rien d’un air assez paniqué, en murmurant qu’elle aurait pu au moins attendre le matin. Julia se leva doucement, en se mettant bien en arrière comme on lui avait appris, pour que les contractions soient moins douloureuses. Avec un peu de chance, il n’y aurait plus de contractions avant l’arrivée à l’hôpital. Antoine ayant fini de charger la voiture, il alla chercher sa tendre femme. Lorsqu’elle fit son premier pas, la jeune femme crue que sa dernière heure était arrivée. Son cœur se mettait à battre la chamade, elle ne sentait plus ses jambes et avait du mal à respirer. Julia avait peu à peu l’impression de perdre conscience. Une fois dans la voiture, elle s’allongea sur la banquette arrière, tandis qu’Antoine lui parlait pour la rassurer.
La jeune femme n’avait jamais été aussi contente de voir des gens en blouses blanches. Elle n’en pouvait plus, ses contractions étaient devenues quasiment constantes.Tant pis si les médecins n’étaient pas prêts. Il fallait qu’elle mette les deux bébés qu’elle attendait au monde. Elle prit une grande inspiration, broya la main de son conjoint, et commença le travail toute seule. Antoine lui parlait, la dorlotait, lui tapotait le front avec un gant, il était là. Il avait toujours été là, et il serait toujours là. Julia l’aimait d’un amour passionnel. Elle ne croyait pas au grand amour, mais sa rencontre avec Antoine l’avait faite changer d’avis. C’était son double, sa moitié. Ils vivaient l’un des plus beaux moments de leur existence. Ensemble. Soudain, des hurlements de nourrisson s’échappèrent. L’infirmière lui montra ce qu’elle trouvait être les deux bébés les plus adorables du monde. Elle sourit, heureuse. Exténuée, elle s’endormit, ses deux adorables filles posées sur son ventre.
Part II - Une terrible perte.
Une semaine après l’accouchement, Julia était encore à l’hôpital. Le temps de se reposer, car l’accouchement l’avait exténuée. Il faisait beau aujourd’hui, son mari n’était pas encore arrivé et ses deux anges dormaient à poing fermé. Elle décida donc de sortir dans le jardin pour faire une petite balade, histoire de se dégourdir un peu les jambes, car normalement, elle devrait rentrer à la maison aujourd’hui, le médecin ayant jugé que tout ce petit monde allait bien. Antoine ouvrit la porte de la chambre, et tomba sur une infirmière en train de refaire le lit de sa femme. « Mais où est-elle ? » demanda-t-il intrigué. « Ne vous inquiétez pas, elle est juste sortie se balader !» Antoine fut rassuré. Le jeune homme avait toujours peur qu’il arrive quelque chose à sa famille. À cause de lui. À cause de son don. Maintenant qu’il avait eu des enfants, il ne pouvait plus se permettre de les mettre en danger. Il devait partir, et c’est ce qu’il venait annoncer à Julia. Pendant toutes ces années il était resté en Belgique, refusant d’aller à Décadence, voulant mener sa vie comme il l’entendait. Mais maintenant, il ne pouvait plus dire non, il ne pouvait pas mêler sa famille. La porte se rouvrit, sûrement encore l’infirmière qui avait oublié quelque chose.
Julia courait. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle était sûre que ses petites filles étaient en danger. Sûrement ce qu’on appelle l’instinct maternel. En arrivant devant sa chambre, elle crut s’évanouir. Son mari était là, étendu sur le sol, baignant dans son sang. Le berceau des petites était ensanglanté, mais celles-ci n’avaient rien. Elles avaient tout vu, et hurlaient. La jeune femme ne voulait plus vivre. Elle s’effondra sur le sol, et souhaitait mourir.
« S'il m’arrive quelque chose, occupes-toi des filles. Elles ne sont pas comme moi, elles ne craignent rien, elles ne sont pas comme moi, ce n’est pas héréditaire ces choses-là »
Les filles. Elles devaient s’occuper des filles. Julia courut auprès du berceau, mais quand elle défit le petit pyjama de Charlotte, celle-ci bougea sa cheville, quelque chose tomba par terre. Une clé jaunâtre. La jeune femme avait déjà vu cette clé, elle est comme celle d’Antoine. Comprenant ce qui se passait, elle défit également le pyjama de Camille en espérant se tromper. Malheureusement, la clé y était bien, accrochée dans son dos. Ce qui était censé être impossible c’est produit. Ses bébés étaient des porteuses. D’après ce que lui avait raconté Antoine, c’était quasiment impossible.
« Petites et déjà extraordinaires… » Dit en souriant tristement Julia.
La réalité s’imposa à elle. Elle devait non seulement séparer les jumelles, mais ne pouvait même pas en garder une, c’était trop dangereux. Julia pleurait, mais berçait les petites, pour qu’elles arrêtent de pleurer. Un long périple les attendait, la jeune femme savait qu’en cas d’incident grave, Antoine avait des relations. Un soir, il lui avait tout expliqué, ce qu’il fallait faire au cas où il lui arriverait quelque chose. Ce jour était arrivé. Elle installa les petites dans la voiture, et partit.
….
Alexia Pemlow se souviendrait toujours comment elle avait eu Lily. C’était fin mai, il faisait nuit, quand quelqu’un c’était mis à tambouriner à la porte. Son mari avait l’air d’être au courant de ce qu’il se passait, puisqu’il alla ouvrir immédiatement. Une jeune femme était sur le seuil, trempée car il pleuvait des cordes, et pleurait. Elle ne voulait pas rentrer, cela lui faisait trop mal de laisser son bébé. Elle nous supplia de bien la traiter et surtout qu’il ne lui arrive rien. Puis elle repartir en courant, hurlant qu’il ne fallait jamais que Lily la contacte. Son mari sortit une petite fille adorable du berceau. Alexia la prit immédiatement dans ses bras, et la berça.
« Tu n’as plus à avoir peur, tu es en sécurité. À partir de maintenant, tu es Lily Pemlow, tu es ma fille »
Part III -Une enfance tranquille
Lily était une enfant gâtée, et elle le savait. La petite fille, du haut de ses 7 ans, avait compris que si elle demandait quelque chose, pleurait un peu, elle l’obtiendrait toujours. Ce qu’elle ne comprenait pas, c’est pourquoi quand d’autres enfants le font, cela ne marchait pas. Elle se souvient que lors de son anniversaire, sa maman lui avait offert la plus belle robe de princesse qu’elle n'avait jamais vue, la matière était toute douce, et il y avait plein de brillants partout. Toutes les filles de sa classe étaient en admiration devant elle, Lily était un peu perdue, car elle aurait bien aimé que toutes ses filles aient la même robe qu’elle. Malheureusement, son père lui avait expliqué que ce n’était pas possible. Qu’il y avait des gens qui avaient plus de chance, et qu’heureusement, elle, elle avait eus de la chance. Donc depuis toute petite, Lily se disait que si les autres n’avaient pas eu de chance, ce n’était pas de leur faute mais qu’elle, elle avait de la chance, donc elle devait en profiter.
Au collège, cette différence de « chance » s’accentua, et Lily devint amie avec les filles qui avaient le même taux de « chance » qu’elle. On avait presque réussi à la convaincre que ceux qui avaient moins d’argent qu’elle c’était de leur faute, ils auraient dû travailler mieux. Et surtout, au contraire, la jeune fille devait montrer qu’elle avait de l’argent, car c’est comme ça qu’elle arriverait à se faire une place dans ce monde. Elle commença à acheter les vêtements les plus chers mais aussi les plus beaux, puis à sortir avec le « beau monde » Lily Pemlow commençait déjà à faire son show.
Au lycée, la popularité explosa. Son corps d’enfant ayant disparu, il avait laissé place à une magnifique jeune femme, aux atouts indéniables. Lily avait laissé pousser ses cheveux, elle arborait maintenant une belle crinière blonde bouclée. Elle avait également appris l’art de la séduction, elle était une véritable croqueuse d’homme. On ne comptait plus son nombre de conquête, tellement de garçons étaient épinglés à son tableau de chasse. Beaucoup de rumeurs circulaient sur Lily, car malgré le fait qu’elle soit connue de tous, peu connaissaient sa vraie vie. Au fond, la jeune blonde n’avait pas beaucoup d’amis. D’accord, elle avait plein de connaissances et tout le monde se proclamait son amie la plus proche, mais la jeune femme savait très bien qu’au fond, personne ne la connaissait vraiment. Mais cela lui importait peu, elle continuait à jouer le rôle qu’elle c’était donné. Après tout, il paraît que c’est juste ce qu’elle savait faire de mieux.
Part IV - Une nouveau départ
Le jour de ses 16 ans, la vie de Lily avait basculé. Une nouvelle coupe faisait fureur, et Lily n’avait pas réussi à obtenir avec l’unique coiffeur qui faisait cette coupe. Elle c’était enfermée dans sa chambre et pleurait de rage devant le magazine. Allongée sur son lit, elle y pensait énormément puis tout d’un coup, la jeune femme se sentit bizarre. Elle se leva et devant sa glace, hurla. Ses cheveux avaient changé. Elle avait changé de de coupe sans rien faire. Effrayés par le cri, les parents de Lily arrivèrent,
« Mais qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi as-tu hurlé comme cela ?! » « Papa, Maman. Je vous jure que c’est la vérité. Vous savez, la nouvelle coupe que je voulais, j’y ai pensé fortement, et c’est arrivé. Je ne comprends pas. J’ai peur. »
Les deux parents se regardèrent d’un air entendu. C’était le moment de lui raconter toute l’histoire. Toute son histoire.
« Chérie, je crois qu’il faut que tu t’assoies. Ce qu’il vient de t’arriver n’est pas « bizarre » mais tu as un don. D’après ce que je comprends, tu peux transformer ta morphologie à volonté. Une lettre va arriver, d’une association dont ton père fait partie, qui t’expliquera mieux en détail. Il est temps maintenant que je te remette ta « clé » symbole de ton don. Tu as eu cette clé dès ta naissance. »
Lily était abasourdie. Pourquoi tant de cachoteries ? Pourquoi on ne l'avait pas prévenu avant ? En tout cas, son nouveau pouvoir ne lui déplaisait pas. Elle allait même en tirer parti une fois qu’elle le maitriserait mieux…mais une question subsistait.
« Pourquoi avoir attendu que cela m’arrive pour m’en parler ? » « Car…cela impliquait qu’il fallait ton explique plusieurs choses. Comme le fait que nous ne sommes pas tes parents biologiques. Ton père était comme toi, il avait un don, et il a été assassiné une semaine après ta naissance. Tu as eu ta clé à ce moment-là. Ta mère, pour te protéger, t’a amené à nous et nous a fait promettre de ne jamais rien te dire avant que tu ne sois prête. Le moment est arrivé. Maintenant que nous t’avons raconté cela, nous pouvons te donner ça. »
La mère de Lily lui donna deux lettres. La jeune femme ne savait plus trop ou elle en était. Ou plutôt, elle s’en fichait un peu. Elle ne se souvenait pas de son père, et sa mère la délibérément abandonnée sois disant « pour son bien » les seuls vrais parents qu’elle ait eu son Mr et Mme Pemlow. Le reste lui importait peu. N’empêche, cela lui faisait un peu bizarre, mais la perspective de son nouveau pouvoir éclipsa totalement ce sentiment. Après avoir discuté longuement avec ses parents, ceux-ci quittèrent sa chambre, laissant la jeune femme seule.
Elle les ouvrit une par une, calmement. Elle se sentait étrangement calme par rapport à tout cela, alors que toute personne normale perdrait la boule en apprenant tout cela. La première lettre concernait Décadence, la fameuse association. Elle devait la rejoindre immédiatement, l’école se situait non loin de chez elle à Oxford. Elle y suivrait un cursus de journalisme, elle voulait devenir journaliste de mode. En même temps, des gens l’aideraient à maîtriser mon pouvoir.
La deuxième lettre lui apprenait le décès de sa mère biologique. La jolie blonde éclata de rire. À peine venait-elle d’apprendre son existence qu’elle meure. Apparemment Lily devait aller voir un certain notaire pour récupérer son héritage. Elle irait le voir, mais elle n’en voulait pas. Ne voulait rien savoir de cette famille. Elle déchira le faire part de décès, et commença à faire ce qu’elle voulait vraiment, c'est-à-dire sa valise. Un nouveau départ s’offrait à elle, grâce à Décadence. La jeune femme allait pleinement en profiter.
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Intelligente Capricieuse Intègre Superficielle Fidèle Croqueuse d’homme Loyale Hautaine Autonome Rancunière |
In Real LifePrénom/Pseudo: Séphale ! Mon âge: 17 ans quasiment. Mon personnage est : [ ] Prédéfini [x] Inventé Je fais environ : 1000 mots généralement, voir un peu plus quand je suis inspirée. Je serais là: 4/7 jours. J'ai connu le forum: Vous êtes des petits marrants. Ma première impression quand je l'ai vu a été: Je l’aime. ( comme beaucoup de choses/gens d’aillleurs…) J'ai lu le règlement, je peux donc dire que: Que je suis admin. Rien d'autre à ajouter ? Mwhahahaha.
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Gif trouvé sur TUMBLR, Icone sur Bronyland, Fiche créée par Miha. |
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